Valoriser

Spécificités d'exercice

Cette page regroupe nos ressources concernant des particularités d'exercice. Pour rappel, pour pouvoir communiquer sur leurs spécificités d'exercice, les kinésithérapeutes doivent remplir certaines conditions établies par le Conseil national de l’ordre (notamment une formation spécifique de 80h minimum)

Un outil pour valoriser ses spécificités d’exercice et mieux orienter ses patients : https://www.dev.urps-kine-idf.com/inscription-ror

Rôles du Kinésithérapeute dans l’accompagnement des personnes atteintes d’un cancer du sein : https://www.dev.urps-kine-idf.com/blog/octobre-rose-mettons-en-lumiere-le-role-du-kine-dans-la-prise-en-charge-du-cancer-du-sein-

Infographie sur la kinésithérapie et le cancer du sein (enquête patientes – 2017)

Evolutions de la règlementation : https://www.dev.urps-kine-idf.com/blog/reglementation-des-balneotherapies-ce-qui-va-changer

Replay Webinaire Sport-Santé 2023

Nouveaux Modes d"Exercice

L'URPS Kiné IDF se mobilise pour évaluer et expérimenter des nouveaux modes d'exercices pour les kinésithérapeutes franciliens.

L‘accès direct est une organisation des soins kinésithérapiques permettant à un patient d’accéder directement à un kinésithérapeute, sans prescription médicale préalable, ni passer préalablement par un médecin.

Les kinésithérapeutes franciliens souhaitant proposer leurs soins en accès direct à la population peuvent le mettre en place grâce à deux évolutions règlementaires distinctes.

Promulguée le 20 mai 2023 pour la première, la loi portant amélioration de l’accès aux soins par la confiance aux professionnels de santé autorise la mise en place de l’accès direct aux kinésithérapeutes exerçant dans les structures suivantes :

  • Les Centres hospitaliers régionaux universitaires,
  • Les Centres hospitaliers,
  • Les Maisons de Santé Pluridisciplinaires,
  • Les Centres de Santé,
  • Les EHPAD,
  • Les équipes de soins primaires ou spécialisés,
  • Les Centres hospitaliers spécialisés en psychiatrie,
  • Les Hôpitaux d’instruction des armées,
  • Les établissements de santé, hôpital public ou privé,
  • Les cliniques,
  • Les Centres de lutte contre le cancer,
  • Les établissements privés d’intérêt collectif,
  • Les établissements ou services sociaux ou médico-sociaux.

Le kinésithérapeute recevant un patient en accès direct ne peut proposer que 8 séances en l’absence de diagnostic médical préalable. Une fois ces 8 séances atteintes, le patient devra consulter un médecin. Le kinésithérapeute devra adresser un bilan initial et un compte-rendu des soins réalisés au médecin traitant ainsi qu’au patient pris en soin. Depuis la signature de l’avenant 7 à la convention nationale, les actes réalisés dans ce cadre seront remboursés par les Caisses d’Assurance Maladie.

Le deuxième dispositif a été instauré en Mars 2020 suite à la parution des deux arrêts du 8 mars 2020 autorisant, par protocole national de coopération, que le médecin délégue une partie de ses compétences à un kinésithérapeute avec lequel il travaille en équipe pour les patients consultant pour une lombalgie aiguë ou suite à un traumatisme en torsion de la cheville. Ces protocoles permettent aux patients respectant ces conditions d’accéder directement à un kinésithérapeute et ces derniers pourront être amenés à mobiliser des compétences médicales si besoin (prescription d’antalgiques, d’un arrêt de travail, etc…). Des protocoles locaux spécifiques à d’autres pathologies peuvent être proposés à l’ARS à l’initiative des professionnels de santé qui le souhaitent (loi n°2021-502 du 26 avril 2021). Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre page dédiée :https://www.dev.urps-kine-idf.com/blog/kinesitherapie-et-acces-direct ou nous contacter : a.demont@urps-mk-idf.org.

L’article 119 de la loi du 26 janvier 2016 de modernisation de notre système de santé a ouvert la possibilité pour les auxiliaires médicaux d’exercer en pratique avancée au sein d’une équipe de soins primaires coordonnée par le médecin traitant.

La pratique avancée permet ainsi à des professionnels paramédicaux d’exercer des missions et des compétences dépassant leurs activités habituelles, compétences jusque-là dévolues aux seuls médecins.

L’URPS Kiné mène depuis 2020 une enquête de terrain auprès de différents établissements de santé et équipes de soins franciliens pour déterminer la pertinence du concept de pratique avancée en kinésithérapie.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre page dédiée : https://www.dev.urps-kine-idf.com/blog/kinesitherapie-en-pratique-avancee ou nous contacter : a.demont@urps-mk-idf.org.

Lire 

Certains kinésithérapeutes mobilisent déjà régulièrement leurs compétences pour répondre à des urgences, notamment :

  • Traumatismes sportifs : pour évaluer la gravité de la blessure, l’urgence par rapport à la reprise du match et appliquer des gestes techniques. Pour un exemple d’urgences en rugby. Pour en savoir plus sur la kinésithérapie du sport en général.
  • Bronchiolite : pour surveiller l’état clinique des jeunes enfants, rassurer/informer les familles et éventuellement appliquer des gestes techniques de désencombrement. Pour en savoir plus cliquez-ici.

Depuis 2004, les kinésithérapeutes ont un devoir de protection, d’alerte et d’application des gestes de premiers secoursnécessaires en situation d’urgence, jusqu’à l’intervention d’un médecin. Code de la Santé Publique, Partie législative (Articles L1110-1 à L6441-1), Article L4321-1 : https://www.circulaires.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000006913992/2021-08-25

Depuis le 20 janvier 2016, face à une situation d’urgence et en l’absence d’un médecin, le kinésithérapeute est légalement habilité à “accomplir les premiers actes de soins nécessaires en masso-kinésithérapie” sans prescription médicale. Code de la Santé Publique, Partie réglementaire (Articles R1110-1 à R6431-76), Article R4321-10 : https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000031930031

Pour en savoir plus sur la notion d’urgence, consultez : la circulaire du CNO, un article abordant la notion de “préjudice dans le retard”, la communication publiée après la tenue d’un colloque sur le sujet. 
En 2022, des dispositions réglementaires exceptionnelles, “mission Braun”, ont été mises en place pour réduire l’impact de la crise des urgences estivales. Elles ont rendu possible, d’un point de vue légal et règlementaire, l’intervention de kinésithérapeutes libéraux conventionnés en renfort d’établissements. Ce cadre dérogatoire (en vigueur jusqu’au 30 septembre 2022) rendait accessible deux types de renforts sous la forme de missions ponctuelles ou de plus longue durée :

  • Renforts au sein de services d’accueil des urgences
  • Renforts au sein d’établissements médicaux et médico-sociaux (EHPAD, SSR, etc.)

Ce cadre exceptionnel pourrait éventuellement être réitéré.

 Pour en savoir plus sur l’historique de ce cadre, vous pouvez consulter nos pages dédiées ou nous contacter :

Actions de Prévention

Vous trouverez ci-dessous les réponses aux questions les plus fréquentes.
 N'hésitez pas à nous contacter si vous avez d'autres questions !

Ressources internes

L’URPS Kiné Île-de-France, l’URPS Médecins Île-de-France, l’URPS Pharmaciens Île-de-France, avec le soutien des autres URPS franciliennes, souhaitent attirer votre attention sur l’augmentation significative des cas de bronchiolite du nourrisson. L’épidémie a commencé plus tôt que prévu, est plus forte et touche de plus en plus d’enfants en Île-de-France.

Les recommandations de la Haute Autorité de Santé de novembre 2019 ont entraîné une réduction des prescriptions de kinésithérapie respiratoire chez le nourrisson. Or ces recommandations ne concernaient que des enfants hospitalisés présentant des bronchiolites sévères, ce qui représente une très faible proportion des cas.

Par ailleurs, un grand nombre d’études récentes démontrent la réelle plus-value d’une prise en charge de ces jeunes enfants en kinésithérapie de ville. (cf bibliographie)

La prise en charge ambulatoire de ces jeunes enfants étant devenue insuffisante, les urgences hospitalières franciliennes commencent à être submergées par des cas de bronchiolites sans critère de gravité ou de gravité modérée, ainsi que par des parents affolés par l’état de santé de leurs enfants.

Afin de gérer au mieux cette vague épidémiologique montante et de préserver l’efficience des services d’urgences, il est nécessaire de mobiliser les kinésithérapeutes libéraux. L’accompagnement de ces jeunes patients et de leurs parents doit être basée sur une équipe médecins et kinésithérapeutes de ville, en lien avec les autres professionnels de santé.

Pour rappel, le rôle du kinésithérapeute s’articule autour de 5 axes :

  • RASSURER et INFORMER les familles au sujet de la bronchiolite et des conduites à tenir
  • APPRENDRE les techniques de mouchage et donner des conseils de prévention
  • SURVEILLER l’état clinique des jeunes enfants
  • HIÉRARCHISER les cas de bronchiolites en fonction de leur gravité pour éviter l’engorgement des services d’urgences et des cabinets médicaux
  • UTILISER des techniques de désencombrement bronchique si cela est nécessaire sur le plan clinique

L’URPS Kiné IDF, avec le soutien de l’URPS Médecins IDF, de l’URPS Pharmaciens IDF et des autres URPS d’IDF, a procédé à l’envoi postal et numérique d’une affiche et d’un courier d’accompagnement, à destination des cabinets de kinésithérapie et des pharmacies de la région, afin de sensibiliser leurs patients aux bénéfices de ces soins.

Supports en libre accès pour soutenir vos interventions en milieu scolaire :

Dépliant de repérage “Et si c’était la CMT ?”

Ressources externes

Repérage de la fragilité via ICOPE

Objectif : Préserver l’autonomie en optimisant les capacités fonctionnelles chez les séniors. ICOPE se déploie dans 5 communes des Hauts-de-Seine : Colombes, Courbevoie, La Garenne-Colombes, Nanterre et Neuilly-sur-Seine.

 

Programme SEVR’AGE : Réduire le tabagisme des sujets âgés

Ressources Santé Publique France

Actions Kinés Solidaires (AKS)

Vous trouverez ci-dessous les réponses aux questions les plus fréquentes.
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Notre époque mondialisée baigne dans un climat de tensions climatiques, géopolitiques, économiques , sociales et sociétales, qui appellent des flux constants et importants de biens et de personnes, mais amène aussi des violences physiques, psychologiques, sociales pouvant être perpétrées par des individus, des groupes d’individus, des gouvernements ou des sociétés entières.

De ce fait, certaines populations, marginalisées pour différentes raisons, ont des besoins de santé plus grands, et par ailleurs rencontrent plus de difficultés à se soigner. Ainsi, les parcours d’exil sont souvent associés à des traumatismes de différentes natures, qu’ils soient psychiques ou physiques, dûs à la dureté du trajet et aux violences voire aux tortures subies. Ce sont ainsi quatre personnes exilées sur cinq qui déclarent un antécédent de violence, deux sur trois qui ont un syndrome de stress post-traumatique et près d’une sur trois qui renonce en France à se faire soigner suite à la rencontre d’une barrière d’accès aux soins (IGAS 2019).

De la même façon, la vie à la rue peut se regarder comme un parcours, charriant son lot de violences, nécessitant des stratégies de survie, et impliquant un rapport au corps et à la santé modifié. Il est fréquent que les personnes sans domicile fixe n’aient pas de couverture de santé, et même lorsque celle-ci est présente, l’accès à la santé n’est pas pour autant toujours effectif.

De plus, l’Île-de-France est une des régions regroupant le plus de ces populations précaires. Aussi l’Agence Régionale de Santé (ARS), dans son Plan Régional de Santé (PRS) quatrième édition pour les années 2023-2028 garde en premier axe “Réduire les inégalités sociales et territoriales de santé”.

Contexte :

Un partenariat depuis 2017 entre Le Samu Social de Paris et Rééducateurs solidaires, qui recherche activement pour ses structures médicalisées des bénévoles kinésithérapeutes pour des interventions régulières dans les centres.

Lieux

  • LHSS-LAM Babinski, Hôpital Charles Foix , 7 avenue de la République, 94200 IVRY-SUR-SEINE
  • LHSS Ridder-Plaisance, 12 rue de Ridder, 75014 PARIS
  • LHSS Les Lilas, Hôpital Paul Brousse, 66-68 rue des Plantes, 75014 PARIS
  • CHU Migrants, Rue de la Baignade, 94200 IVRY-SUR-SEINE
  • LHSS Saint Michel, 35 avenue Courteline, 75012 PARIS

Population

  • Personnes sans domicile fixe hébergé dans les établissements du Samu Social de Paris

Mission

  • Les LHSS (lits halte soins santé) accueillent temporairement des personnes majeures sans domicile fixe, quelle que soit leur situation administrative, ne pouvant être prises en charge par d’autres structures, dont la pathologie ou l’état général ne nécessite pas une prise en charge hospitalière ou médico-sociale spécialisée mais est incompatible avec la vie à la rue. Toutes les pathologies et âges peuvent donc exister.
  • Les LAM (lits d’accueil médicalisés) sont voués à des patients sans domicile fixe porteurs de pathologies lourdes et chroniques, pouvant engendrer une perte d’autonomie et ne pouvant être prises en charge dans d’autres structures, nécessitant un suivi médical continu.
  • Le CHUM (centre d’hébergement d’urgence des migrants) accueille des familles ou femmes seules de populations migrantes, environ 400 personnes, qui peuvent présenter tout type de pathologies et d’âges, de la pédiatrie à la personne âgée.

Contact : recrutement@reeducateurssolidaires.org

Contexte

Rééducateurs solidaires travaillent en partenariat avec trois Permanences d’Accès aux Soins de Santé (PASS) parisiennes. Les PASS sont des cellules d’accompagnement et de prises en charge médico-sociaux rattachées au service public hospitalier, visant à favoriser l’accès aux soins des personnes sans droits sociaux ouverts.

L’objet du partenariat est de permettre à des personnes qui n’ont pas de couverture de santé d’accéder à des soins de rééducation.

Les médecins des trois PASS partenaires orientent les patients ayant le plus besoin de soins de rééducation vers des kinésithérapeutes qui interviennent bénévolement dans les locaux de la PASS de l’Hôtel-Dieu.

Lieux

  • Hôpital Hôtel-Dieu, 1 Parvis Notre-Dame – Pl. Jean-Paul II, 75004 Paris

Population

  • Migrants, sans domicile fixe

 

Mission

  • Prodiguer des soins de kinésithérapie bénévolement à raison d’une demi-journée par semaine, pour une durée de 4 à 6 mois, renouvelable.

Contact : recrutement@reeducateurssolidaires.org

Contexte

Depuis 2020, une équipe de kinésithérapeutes bénévoles propose à des mineurs non accompagnés (MNA) des soins de kinésithérapie et de rééducation, sur site, afin de prendre en charge les différentes affections musculosquelettiques causées principalement lors de leur parcours migratoire ou lors de leur séjour en France.

Lieux

  • Centre MSF pour mineurs non accompagnés, 101 bis avenue Jean Lolive, 93500 Pantin

Population

  • Mineurs migrants non accompagnés

Mission

  • 
Intégrer l’équipe de MSF Pantin, comprenant infirmières, psychologues, juristes, travailleurs sociaux, traducteurs, animateurs, sur un créneau de 3 à 4h, pour proposer des bilans et suivis de kinésithérapie.

Contact : s.urfamartin@gmail.com et jeanne.vanmairis@gmail.com

Ressources

À venir bientôt !

De Jean-François PETIN : L’URPS s’engage avec Kinés du Monde et le Samu Social de Paris, pour une meilleure prise en charge des populations fragilisées et redonner confiance, affection et dignité à ceux qui en sont le plus démunis.

Soutien à la recherche

Soutenir les initiatives de recherche pour faire évoluer la profession.

Prix Irénée
Projets universitaires et projets de recherche
Comment participer en tant que libéral ?

Depuis 2014, l’URPS Kiné IDF récompense chaque année les meilleurs mémoires des étudiants d’IFMK franciliens.

 

Depuis l’édition 2020, 2 prix sont décernés :

  • Le Prix “Recherche Clinique” pour récompenser les mémoires présentant un intérêt concret ou répondant à un enjeu contemporain pour la kinésithérapie libérale.
  • Le Prix “Santé Publique” pour récompenser les sujets ayant une portée collective, populationnelle et préventive.

 

Pour en savoir plus et accéder aux mémoires des lauréats, consulter notre page dédiée.

 

Voir les Lauréats 2022.

Depuis janvier 2018, soutien financier :

  • Soutien financier du projet de thèse d’Anthony Demont, kinésithérapeute libéral et chef de projet URPS “Accès Direct et Pratiques Avancées”. Sa thèse, soutenue le 23 novembre 2022, porte sur l’accès direct et a été réalisée en partenariat avec l’Université Paris Diderot et l’Université de Montréal, auprès de l’équipe INSERM UMRS 1123-Eceve. Cliquez ici pour accéder aux publications d’Anthony Demont
    Soutien financier du projet de recherche impulsé par Thomas Baucher, kinésithérapeute libéral, visant à évaluer l’efficacité des gestes de désencombrement effectués sur les nourrissons lors d’épisodes de bronchiolite aigüe modérée. Cette étude intitulée “Bronkiville” est un essai contrôlé randomisé multicentrique. Il est mené en partenariat avec le Réseau Kinésithérapie Bronchiolite Essonne (RKBE) et vise à inclure plus de 150 patients entre novembre 2019 et mars 2022. Pour accéder au protocole de l’étude : https://www.rkbe.fr/etude-bronkiville/

Depuis mars 2020, contrat de partenariat :

  • Avec la société Dr Data, pour expérimenter l’accès et l’analyse de données de santé existantes via le SNDS “Système national des données de santé”. Ce partenariat a déjà permis la rédaction de deux protocoles de recherche (thématiques : entorse de cheville et cancers du sein), le dépôt de demandes d’accès aux données de santé et l’obtention d’autorisations par la CNIL. Néanmoins les données obtenues restent à ce jour inexploitables. L’URPS et Dr Data poursuivent leurs investigations pour obtenir des données utilisables.

En 2022, accueil de stagiaires en Master :

  • Accueil d’Astrée Nass, étudiante en master de Santé Publique, pour un stage de 2 mois visant à évaluer la perception des médecins généralistes concernant l’augmentation de l’autonomie des kinésithérapeutes.
    Mise à disposition d’un bureau à l’URPS pour la réalisation du stage de 6 mois d’Olivier Daudier, kinésithérapeute et étudiant en Master de recherche à la Sorbonne en partenariat avec le Centre d’Investigation Clinique de l’Hôpital Robert Debré. Dans la continuité de son stage portant sur l’accès direct, Olivier Daudier continue de participer régulièrement aux projets de l’URPS avec notamment le développement d’expérimentations visant à permettre l’intervention de kinésithérapeutes dans des services d’urgences.

1. Candidater au comité de relecture pour le Prix Irénée 2023 : contact@urps-mk-idf.org
2. Répondre aux questionnaires-étudiants et les diffuser (voir le lien)
3. S’inscrire sur la cartographie des chercheurs paramédicaux, quel que soit votre niveau d’engagement : j’expertise, je conçois, je participe ou je suis intéressé(e) : (voir le lien)
4. Orienter des patients volontaires vers des études en cours :

  • Un projet d’étude sur l’équilibre (projet KPlates) cherche des patients avec une hémiparésie post-AVC, des patients atteints de Charcot Marie Tooth, ainsi que des sujets sains, pour une seule visite de 2h à Garches (Laboratoire d’Analyse du Mouvement de l’Hôpital Raymond Poincaré), frais de transports pris en charge : plus de détails sur les critères d’inclusion en contactant directement le 01 71 14 49 21, 01 47 10 73 38, labo.mouvement@aphp.fr, celine.bonnyaud@aphp.fr, maxence.blard@aphp.fr

Flyer patients hémiparésie post-AVCFlyer patients Charcot Marie Tooth / Flyer sujets sains

Un projet d’étude sur les douleurs fémoro-patellaires cherche des volontaires pour la réalisation de tests sur une demi-journée dans le service de rééducation de l’hôpital Cochin : plus de détails sur les critères d’inclusion en contactant M. Coleman Marvin, kinésithérapeute, au 01 58 41 13 71 ou par mail marvin.coleman@aphp.fr

Rejoindre “Compare”, la communauté de patients pour la recherche, qui adresse des questionnaires en ligne à son réseau d’inscrits. Peut s’y inscrire toute personne atteinte d’une ou plusieurs maladies chroniques (rhumatologique, neurologique, musculaire…) dont la liste est disponible ici : https://compare.aphp.fr/les-maladies-chroniques/

Valorisons la recherche et la kinésithérapie ambulatoire !

Valoriser la kinésithérapie libérale fait partie des missions de l’URPS Kiné IDF. C’est pour cette raison qu’a été lancé en 2015 le Prix Irénée, qui récompense chaque année les meilleurs mémoires, portant sur un sujet ambulatoire, des étudiants kinés franciliens.

Ce prix récompense les meilleurs travaux de fin d’étude de nos jeunes consœurs et confrères. Les candidat(e)s au Prix Irénée doivent soumettre leurs résumés de mémoire, lesquels sont examinés par un comité de lecture.

Chaque mémoire est évalué par deux profils d’évaluateurs(trices) :

Profil clinicien : praticiens avec un parcours professionnel centré sur la pratique.
Profil académicien : praticiens avec un parcours universitaire et disposant au minimum d’un Master de sciences.

Depuis l’édition 2020, 2 prix sont décernés :

– Le Prix Irénée “Recherche Clinique” pour récompenser les mémoires présentant un intérêt concret ou répondant à un enjeu contemporain pour la kinésithérapie libérale.
– Le Prix Irénée “Santé Publique” pour récompenser les sujets ayant une portée collective et préventive.

5 finalistes sont sélectionnés (3 par Prix), et soutiennent leurs travaux devant un jury composé de 3 élus URPS Kiné IDF afin d’être départagés. Ces 6 finalistes présentent également leurs travaux lors de la Cérémonie de remise des Prix, devant un public de kinésithérapeutes, d’étudiants et de membres du corps enseignant. A l’issue de la soirée, le classement est annoncé, et les Prix sont remis à chaque finaliste :

1ère place : 3000 €

2ème place : 1800 €

3ème place : 1000 €

4ème place et 5ème : 100 € de bons cadeau

Le Prix Irénée valorise donc la kinésithérapie ambulatoire sur fond de recherche.
En France, près de 85% des kinésithérapeutes sont libéraux. Cela représente plus de 10 000 kinésithérapeutes libéraux en Île-de-France, pour lesquels, la recherche y est difficilement applicable.
Pourtant, les 11 IFMK franciliens forment chaque année plus de 700 nouveaux praticiens, et la majorité des travaux menant à l’obtention de leur Diplôme d’Etat se fait avec une méthodologie scientifique. Les cas cliniques sont rares, au profit des revues systématiques, essais cliniques, enquêtes, études qualitatives…
La méthode scientifique est maintenant fortement ancrée dans le paysage de la kinésithérapie, mais cela ne signifie pas que les sujets traités s’éloignent des soins ambulatoires. En effet, parmi les sujets, on retrouve la douleur, la rééducation post-AVC, les lombalgies, les tendinopathies… Des pathologies que nous voyons chaque jour au sein de nos cabinets, et c’est avec un œil neuf et scientifique que nos consœurs et confrères vont rendre un avis.

FAQ

Les candidatures sont désormais closes.

Les candidatures sont désormais closes.

  • Les mémoires sont évalués par un comité de lecture composé de kinésithérapeutes libéraux, sélectionnés par l’URPS. Ce comité utilise une grille d’évaluation spécifique pour garantir une évaluation juste et objective.

Les 5 meilleurs candidats seront sélectionnés. Leur mémoire complet sera ensuite relu par un jury, qui décidera du classement final après une soutenance orale.

Les résultats seront annoncés lors d’une cérémonie de remise des prix. Les candidats seront invités à cet événement où les gagnants seront dévoilés.

1ère place : 3000 €, 2ème place : 1800 €, 3ème place : 1000 €, 4ème et 5ème place : 100 € de bons cadeau chacun.

Lors de la cérémonie de remise des prix.

Merci de contacter l’URPS par mail à l’adresse suivante : contact@urps-mk-idf.org. Nous serons heureux de répondre à vos questions.

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